Nous ne pouvons pas permettre qu’un passé familial dysfonctionnel et traumatique affecte notre présent et notre futur. Nous devons être capable de le surmonter et de guérir pour être heureux/se.
Les blessures provoquées dans le cercle familial provoquent des traumatismes. Mais aussi des carences profondes et des vides que nous ne parvenons pas toujours à réparer.
L’impact d’un père absent, d’une mère toxique, le langage agressif, les cris ou le manque de sécurité et d’affection laisse des traces. Et surtout dans l’enfance, elles apportent plus que le classique manque d’auto-estime et les peurs qu’il est si difficile de dépasser.
Souvent, la difficulté à résoudre nombre de ces impacts intimes et privés provient d’un cerveau précocement blessé.
Il ne faut pas oublier que le stress vécu pendant longtemps et à des âges précoces entraîne des changements dans l’architecture de notre cerveau. Ainsi, les structures liées aux émotions sont altérées.
Tout cela amène comme conséquence une plus grande vulnérabilité. Mais aussi un manque de défense plus profond qui mène à un risque plus grand de troubles émotionnels.
La famille est notre premier contact avec le monde social. Ainsi, si ce contexte ne nourrit pas nos besoins essentiels, l’impact peut être constant tout au long de notre vie.
Voyons dans cet article en détail pourquoi il est si difficile de dépasser toutes ces blessures le cercle familial dont on souffre dans l’enfance.