Manque d’apports affectifs : absence d’attention, d’affection, de chaleur, ou d’une présence amicale.
Manque d’empathie : absence de quelqu’un de compréhensif qui vous écoute et de quelqu’un à qui parler de soi-même.
Manque de protection : absence de quelqu’un de fort qui guide et conseille.
C’est ainsi que ce besoin non comblé de tendresse , continue à crier en soi.
Une personne en carence affective va chercher à combler ce manque. Elle va demander (consciemment ou non) aux personnes qu’elle côtoie, de la combler, comme si celles-ci étaient susceptibles de pouvoir compenser ce qu’elle n’a pas reçu comme tendresse, comme affection, comme sécurité.
Elle aura l’impression de ne jamais être assez prise en considération, jamais être assez aimée, et ce manque est en fait l’écho de ce qui lui a jadis manqué de la part de ses parents.
Ce qu’on lui donne n’est jamais assez puisque cela ne peut emplir le manque qui vient de l’enfance. Mais l’inverse est aussi possible : si un parent a surprotégé son enfant, l’adulte plus tard va rechercher cette même surprotection, cette même forme d’amour.